Image
Image

Claps
0
Date
Contenu
Titre
Un gros match et des regrets ! [1-1]
Heading
Titre 2
Corps de texte
Pas de doute ! C’était bien un Bordeaux-Marseille ce soir ! Le 55ème ! Les Ultramarines célèbrent aussi leurs 30 ans. Nos Girondins allument une mèche digne des plus lumineux fumigènes ! Nicolas De Préville ouvre son compteur but au bout de trois minutes de jeu ! Le Matmut Atlantique bascule alors dans la quatrième dimension. Le banc, et l’arrière banc, explosent ! La liesse est de mise sur le terrain et dans les tribunes. La frappe de notre attaquant était limpide de précision (3’, 1-0).
Les Phocéens vont alors prendre l’ascendant dans le jeu. Nos joueurs restent concentrés. Concernés. Pourtant, Malcom accélère et donne de la chaleur au public bordelais. Même chaleur avec l’intervention, en patron, de Jérémy Toulalan devant Payet (14’). Marseille domine. Et alors ? Bordeaux mène ! Younousse Sankharé manque même le cadre de peu (19’). Le suspense peut perdurer. Marseille pousse un peu. Les Bordelais résistent. Opèrent en contres. Mitrogliou décroise de peu sa tête avant la pause (38’). Rami, sous la pression de « capt’ain Jérém » voit sa tête filer comme une étoile (43’).
D’entrée de seconde période, Benoît Costil boxe la frappe de Thauvin (47’). Les Bordelais sont dominés mais jouent les coups avec détermination. Lorsque Thauvin, encore lui, croit pouvoir faire la différence, il ne cadre heureusement pas. Les Phocéens vont alors enchainer des actions dangereuses en restant muets face aux filets. A l’inverse, à l’heure de jeu, Younousse Sankharé adresse une frappe puissante. Mandanda est sur la trajectoire. Le portier a mis les poings sur les i (65’). M. Millot livre une symphonie en jaunes majeurs avec une distribution de cartons. Lukas Lerager illustre l’intensité de l’implication bordelaise. Son engagement est total !
Jocelyn Gourvennec réalise alors deux changements. Alexandre Mendy prend la place de Nicolas De Préville (75’) et Olivier Verdon celle d’Igor Lewczuk (80’). Le match se rapproche de son épilogue lorsque Cafu remplace François Kamano (88’). Le stade libère sa joie lorsque Mitrogliou manque de cadrer dans les 6 mètres (90+1). Le temps additionnel touche à sa fin lorsque… lorsque Sanson égalise (90+4). La douche est froide. Glacée même. Nos Girondins sont déçus ce soir. Fort logiquement. Pour autant, nos joueurs ont livré un grand match ! Ils étaient au rendez-vous. Fièrement.