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Stéphane Martin était au micro de Gold FM
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Après neuf mois comme administrateur au sein du club, Stéphane Martin a pris la fonction de président délégué du FC Girondins de Bordeaux. Il remplace ainsi Jean-Louis Triaud dans l’organigramme.  Lorsque Nicolas de Tavernost lui propose le poste, Stéphane Martin accepte sans hésiter : « C’est une opportunité particulièrement intéressante. Après plus de 20 ans dans la banque […], j’avais envie de changer. Et changer dans le domaine sportif aux Girondins de Bordeaux cela ne se refuse pas ! » En acceptant d’être président des Girondins, Stéphane Martin passe de l’anonymat à une exposition médiatique certaine, liée au domaine du football professionnel. « C’est une autre vie, un changement radical » reconnait-il. Lors de son arrivée et de son entrée en fonction, Monsieur Martin a apprécié recevoir un accueil « excellent » avec « beaucoup de bienveillance ». Il reconnaît néanmoins une tristesse « légitime » suite au départ de Jean-Louis Triaud, président des Girondins depuis 21 ans : « Il était très apprécié et il l’est toujours. […] Jean-Louis (Triaud) reste au club, président du conseil d’administration ». Stéphane Martin rajoute qu’il peut compter sur l’aide et l’expérience de l’ancien président : « Il a eu la gentillesse et l’élégance de me dire qu’il restait disponible ». Quand Alain Bauderon cherche à savoir quel type de président sera Monsieur Martin auprès du staff technique et de l’effectif professionnel, l’intéressé affirme qu’il veut être « disponible pour parler aux joueurs si l’entraineur en ressent le besoin. […] Si, ponctuellement, il y a besoin de faire entendre une voix de la direction » il assumera ce rôle. Mais le nouveau président ne souhaite pas « interférer dans la vie du groupe ».  Pour cette fin de saison, Stéphane Martin fixe l’objectif « d’être européen »  même si, selon ses termes, cela sera « difficile ». Mais, au-delà d’un but à atteindre, le nouveau président désire mettre en valeur le travail fourni par l’équipe, en citant une phrase de l’entraineur de football, Raynald Denoueix : « Le succès n’est pas l’objectif, c’est la conséquence ».  Ensuite, lorsqu’Alain Bauderon évoque le sujet du mercato estival, Stéphane Martin insiste sur le fait qu’il n’y a « pas d’urgence ».  Pour conclure cet entretien, le journaliste demande à Stéphane Martin si son statut de président salarié accentue une certaine pression vis-à-vis de l’actionnaire, Nicolas de Tavernost. Le nouveau président des Marine et Blanc assure qu’il a surtout une pression par rapport à « une crédibilité à construire » plutôt que sur le fait d’être salarié. « Il faut que je fasse mes preuves, afin d’être à la hauteur et mériter la confiance qui m’a été faite ». Retrouvez l’intégralité de l’entretien ici